L'association envisage la production d'objets sensibles, rendant compte de l'observation de l'ordinaire. Elle voudrait considérer que "le réel doit être frictionné pour être pensé", et que le déplacement est un outil spéculatif indispensable à toute tentative de représentation de celui-ci. Elle s'emploierait ainsi à la création de traces, qui pourraient être à la fois des objets de description, de témoignages, d'exploration, et de questionnement de la réalité